LE DÉFI D'UN NOUVEAU PARADIGME




UNE APPROCHE « QUANTIQUE » DE LA SANTE
DE LA MALADIE ET DU PROCESSUS DE GUERISON
Comment fonctionne l’être humain selon les lois de la nature énoncées par la physique et la biologie nouvelles, et comment accompagner les processus de guérison au lieu de les contrecarrer

« Ne pas réagir aujourd’hui devant l’énormité de l’erreur constatée dans l’approche du vivant relève du délit de non assistance à personne en danger. »
Jacqueline Bousquet, biophysicienne
La physique quantique a projeté l’humanité dans l’ère atomique et dans l’ère de l’information. On peut s’étonner qu’elle n’ait joué pour ainsi dire aucun rôle dans le domaine biomédical, incontestablement basé sur la physique. Tant qu’elles n’intègreront pas les notions de Champ d’information et d’Unification, les recherches médicales classiques en chimie organique auront une compréhension tronquée et faussée des mécanismes qui constituent réellement le moteur de la vie et priveront l’humanité d’un savoir profondément libérateur et réjouissant. 
La conception que nous avons des relations entre cerveau et pensée, matière et esprit, conditionne notre vision de nous-mêmes, de notre santé et de notre rapport au monde. Notre libre-arbitre s’exerce dans ce que nous pensons et faisons de ce qui nous arrive. Encore faut-il que nous disposions d’informations pertinentes concernant notre fonctionnement, et que nous cessions d’être parasités par la confusion des diagnostics et les dogmes de la médecine d’école pasteurienne.



LE DÉFI D’UN NOUVEAU PARADIGME SCIENTIFIQUE
Un paradigme est un système de pensée provisoire. Toute science évolue par bascules successives d’un paradigme à l’autre, en même temps que se développent le niveau de conscience de la collectivité et les récepteurs cérébraux des chercheurs. Mais le passage est toujours délicat, parce que le pouvoir en place, l’autorité et la responsabilité de l’enseignement officiel sont généralement dans les mains de ceux qui professent l’ancien paradigme et qui en tirent un profit quel qu’il soit. Si nous admettons aujourd’hui que la terre tourne autour du soleil, c’est au prix de l’inquisition dont furent victimes Copernic puis Galilée. Dans notre monde « moderne », seules les méthodes ont changé. 
FACE AU NON PENSABLE 
Toute innovation est confrontée au scepticisme parce qu’elle enfreint les croyances établies. Face à une information nouvelle, chacun puise dans son répertoire de connaissances et d’expériences pour tenter de l’évaluer. Si cette information n’entre en résonance avec aucune référence intérieure et, de plus, menace les repères fondamentaux sur lesquels on s’appuie, il faut bien autre chose que de l’intelligence pour « percuter » la nouvelle donne et ses conséquences. Le cerveau se comporte alors comme un filtre protecteur qui évite à l’individu d’être déstructuré par un bouleversement incompatible avec ses capacités présentes d’adaptation. On observe alors de violentes réactions de défense ou de fuite[1] !
En ce sens, la biologie quantique et ses applications sont de véritables détonateurs. Elles nous ouvrent à la logique du vivant, qui s’applique à TOUS les domaines qui nous concernent, de la santé à la politique, en passant par l’économie.


POURQUOI LA NOUVELLE BIOLOGIE DÉRANGE AUTANT
La nouvelle biologie contredit nombre de croyances actuelles. Elle intègre pourtant les données de la physique quantique, des Champs informationnels, de l’épigénétique… Autant de disciplines qui passionnent depuis longtemps les scientifiques de pointe, mais sont ignorées par la médecine d’école pasteurienne et souvent aussi par les praticiens des médecines « alternatives » qui englobent pêle-mêle médecines traditionnelles, douces ou énergétiques[2].

Les données concernant la biologie quantique sont des sciences naturelles et non une énième méthode thérapeutique. La confusion entretenue entre 1) les principes fondamentaux, 2) les méthodes qui s’y réfèrent, et 3) leurs applications, fait le jeu de tous ceux qui ont intérêt à ce que rien ne change. Les lois de la Médecine Nouvelle, irréfutées à ce jour, sont un exemple de « principes » présentés par les détracteurs du Dr. Hamer comme une « méthode » aux résultats contestables[3].

La nouvelle biologie dérange aussi tous les « patients » qui n’ont pas envie de devenir autonomes, leur croyance profonde étant qu’ils n’en sont pas capables. « Si quelqu’un te demande de le guérir, demande lui s’il est prêt à supprimer les causes de sa maladie. » Telle est la question déjà posée il y a 2000 ans par Sénèque.

Certaines traditions anciennes savaient empiriquement ce que nous redécouvrons aujourd’hui : elles sont réduites à du folklore par la « science ». De fait, le plus sûr moyen de détruire une idée dérangeante est de la ridiculiser. Mais, comme disait Victor Hugo, il n’y a rien de plus  puissant qu’une idée dont le temps est venu[4] ! Tous les espoirs sont donc permis…



[1] Selon Jacqueline Bousquet « Il faut avoir non seulement l’esprit ouvert, mais aussi des structures de base suffisamment solides pour « supporter » la nouvelle information. Ceci est une illustration du fonctionnement du système immunitaire qui, dans un premier temps rejette ce qui est sans signification pour son système de références et qui, dans un deuxième temps, va mobiliser ses forces pour essayer d’intégrer l’information parasite […]. Ce mécanisme, bien que non encore reconnu, est à la base de l’adaptation. ». Le Réveil de la conscience, p.186.
[2] Les médecines dites « douces » s’exercent souvent dans le cadre du même paradigme que la médecine conventionnelle. A ne pas confondre avec les médecines subtiles, vibratoires, quel que soit leur nom, dont l’action ciblée sur l’origine du problème peut être extrêmement puissante et rapide, et demande des compétences avérées.
[3] Les principes ne soignent pas, ils expliquent et leur compréhension devrait fonder rigoureusement l’approche thérapeutique. Comment évaluer une méthode qui s’appuie sur des principes et des diagnostics faux ?
[4] Selon un phénomène de résonance bien compris aujourd’hui.